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> Pheidole megacephala (Fabricius), FGT - La fourmi à Grosse Tête - Biologie
Hydraméthylnon
* Saturday 28 June 2008 à 12:22
Message #1


Major Fatal


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Pheidole megacephala (Fabricius)


Présentation :

La Pheidole megacephala, ou Fourmi à Grosse Tête possède une biologie offensive en pleine évolution et commence à "agacer" pas mal de monde.

Son nom scientifique veut dire "grosse tête". Son nom commun lui vient aussi de la taille de la tête de ses majors.

Elle est l'une des pires espèces envahissantes connues. Sans doute Originaire d'Afrique australe, elle est maintenant présente dans toutes les zones tempérées et tropicales du monde. Il s'agit d'une grave menace pour la biodiversité car elle exclut la faune invertébrée indigène, c'est un ravageur agricole car elle consomme les graines et facilite l'installation d'insectes phytophages qui réduisent les rendements des cultures, et c'est un ravageur domestique qui est connu pour détériorer les installations d'irrigation, les câblages téléphoniques et les fils électriques.
Elle est donc un major, une des huit fourmis les plus dangereuses au monde.


Caractéristiques générales :

Elle fait partie du G8 des Super-envahissantes.
Pour faire partie de ce club très fermé il faut posséder les caractéristiques suivantes :

  • Unicolonialité : Pas d'agressivité entre nids voisins
  • Adaptées aux milieux perturbés par l'homme
  • Omnivores : Opportunistes, souples
  • Polygynie : Plusieurs reines par nid, sans hiérarchie
  • Activité de recherche continue : 24 h / 24
  • Mobilisation rapide : Levée en masse sur découverte d'une ressource
  • Tendance à migrer : Courants déplacements du nid
  • Très forte agressivité
  • Explosion démographique facile
Elle n'est pas aussi agressive qu'une fourmi de feu mais elle attaque si on dérange son nid et son venin efficace lui permet de nettoyer presque totalement ses "propriétés".

Elle est classée comme peste à plusieurs titres :
- C'est un Attila biologique accompli, faisant le vide de tout ce qui ne lui est pas utile dans son domaine ou le repoussant à l'extérieur. Elle arrive parfois même (Floride) à tenir tête à la GFF, Solenopsis invicta !!
- À l'instar d'autres super-envahissantes, elle élève en masse les aphidiens (pucerons et cochenilles) pour en traire les miellats sucrés et protéïnés, au détriment des plantes hôtes, donc des cultures humaines. Ses populations peuvent alors exploser de façon spectaculaire.
- Elle rentre dans les maisons. (un de ses noms en anglais, the Brown House Ant, est sans équivoque : Il signifie "la fourmi brune des maisons", tout simplement.)

Elle est, évidemment, rangée en haut du top 100 des pires pestes mondiales.

Classification :
  1. Règne : Animalia
  2. Embranchement : Arthropodes
  3. Sous-embr. : Hexapodes
  4. Classe : Insectes
  5. Sous-classe : Pterygotes
  6. Infraclasse : Neoptères
  7. Ordre : Hymenoptères
  8. Sous-ordre : Apocrita
  9. Infra-Ordre : Aculeata
  10. Super-Famille : Vespoidea
  11. Famille : Formicidae
  12. Sous-famille : Myrmicinae
  13. Genre : Pheidole
  14. Espèce : Pheidole megacephala (Fabricius, 1793)
qui se découpe en 11 sous-espèces :
  • Pheidole megacephala costauriensis
  • Pheidole megacephala duplex
  • Pheidole megacephala ilgi
  • Pheidole megacephala impressifrons
  • Pheidole megacephala megacephala
  • Pheidole megacephala melancholica
  • Pheidole megacephala nkomoana
  • Pheidole megacephala rotundata
  • Pheidole megacephala scabrior
  • Pheidole megacephala speculifrons
  • Pheidole megacephala talpa
On peut donc parler de "groupe megacephala".

Synonymes :
Formica edax (Forskal, 1775)
Formica megacephala (Fabricius, 1793)
Myrmica trinodis (Losana, 1834)
Oecophthora pusilla (Heer, 1852)
Atta testacea (Smith, 1858)
Myrmica suspiciosa (Smith, 1859)
Oecophthora perniciosa (Gerstacker, 1859).

Morphologie :

- Description : IMPORTANT: Il s'agit de caractéristiques générales, vu le nombre de sous-espèces.

C'est une petite fourmi polymorphe (majors et minors) :
- ouvrières : minor de 2 à 2,8 mm jaune à brun noir,
majors de 3,5 à 4,5 mm, unicolores à grosse tête et brunes, du jaune clair à brun noir. Abdomen plus foncé que le reste.
Leur espérance de vie diminue avec la température. Celle des minors a été mesurée pour 78 jours à 21°C et pour 38 jours à 27°C => Le "froid" les conserve, de 27 à 21 ça leur double ...

- gynes : 4,6 à 6 mm (sans les ailes), brunes. Son espérance de vie porterait sur moins d'une année, contrairement à la plupart des fourmis. Ce trait se retrouve néanmoins chez d'autres super-envahissantes, la PFF, Wasmannia auropunctata par exemple. Adaptation ? Sans doute : On peut trouver entre une et 16 reines pour 1.000 ouvrières, fatiguant comme rythme de ponte ...

- mâles : 4,6 à 6 mm, jaune pale ou brun clair.

Anatomie de l'ouvrière (photo diagnose tête : PaDIL (minor) - PaDIL (major) - AntWeb (minor) - AntWeb (major) ) :

* Minor :
  • Tête presque lisse, velue, oblongue, en goutte d'eau : ovale vers l'arrière, pointue vers l'avant.
  • Antennes de 12 segments, sans vraie massue bien que les deux derniers segments soient plus longs que les autres mais ils ne sont pas plus gros en diamètre. A l'autre bout, le premier segment (scape) est plus long que toute la tête.
  • Gouttières antennaires très courtes, voire inexistantes.
  • Oeil représentant environ un sixième de la tête et placé latéralement au milieu entre le clypeus et l'occiput.
  • Mandibule massive (glande mandibulaire) d'une dizaine de dents, la première dent apicale est bien plus longue que les autres (+/- le double).
  • Thorax lisse sur som premier segment, sculpté sur les deux autres,
  • Propodeum portant deux épines courtes à très courtes et bien dressées,
  • Pétiole à deux segments, le premier étant éffilé et presque glabre, le deuxième est massif et velu.
  • Abdomen lisse, ne montrant pas de segmentation nette, plus sombre que le reste du corps et portant de nombreux poils longs.

* Major :
  • Tête lisse à l'arrière, sculptée à l'avant, velue, grosse, de forme sagittale : Deux bosses vers l'arrière, pointue vers l'avant et un sillon médian de l'occiput au clypeus qui est concave.
  • Antennes de 12 segments, les 3 derniers constituant une massue. A l'autre bout, le premier segment (scape) a une longueur d'à peu près la moitié de la tête.
  • Gouttières antennaires très courtes.
  • Oeil représentant environ un huitième de la tête et placé latéralement au milieu entre le clypeus et l'occiput.
  • Mandibule massive (glande mandibulaire), velue, sans dent bien marquée hormis la première un peu en bec de perroquet.
  • Thorax bosselé, lisse sur som premier segment, sculpté sur les deux autres,
  • Propodeum portant deux épines marquées et bien dressées,
  • Pétiole à deux segments, le premier étant éffilé et presque glabre, le deuxième est massif, presque ovoïde, et velu.
  • Abdomen lisse, ne montrant pas de segmentation nette, plus sombre que le reste du corps et portant de nombreux poils longs,


Critères d'identification post mortem :
1. Les majors et les minors
2. La taille, minors de 2-3 mm, majors de 3,5 à 4,5 mm.
3. La formule antennaire, (12 segments).
4. La tête en goutte d'eau des minors contre l'énorme tête sagittale des majors.
5. La mandibule poilue à première dent proéminente.
6. Le propodeum lisse et les deux autres segments sculptés et pileux.

Encore une fois, il s'agit de généralités, il y a au moins 11 sous-espèces. L'identification exacte passe forcément par un spécialiste.
C'est une invasive évasive elle aussi. biggrin.gif
Photos anatomiques (et autres, en anglais) : PaDIL - Pheidole megacephala - AntWeb - Pheidole megacephala

Habitat :

Elles colonisent préférentiellement les milieux perturbés par l'homme mais s'installent aussi dans les autres, ouverts ou fermés, y compris les bâtiments et maisons avec une préférence pour les endroits sombres et humides : murs, faux-plafond, fondations, compteurs, cagibis, etc. et aussi pour les cuisines, les poubelles, etc. Ceci dit, les milieux secs ne la rebutent pas.

Reproduction :

Comme toutes les super-envahissantes, elles sont polygynes mais il en existe des colonies monogynes.
La reproduction extranidale, par vol nuptial, n'a jamais été constatée, la reproduction intranidale semble être la seule bien que les sexués soient tous ailés au départ. Elle a lieu tout au long de l'année, en fonction des variations climatiques. Les mâles n'y suvivent pas.

Un nid compte "beaucoup" de reines : On connaît encore assez mal ce groupe d'espèces en définitive.

Ethologie :

Expansion naturelle :
Elle suit le standard des super-envahissantes, les nids bourgeonnent autour de celui d'origine. La vitesse de leur extension n'est pas établie avec précision mais elle semble être rapide.

Structure sociale :
Comme toujours chez les super-envahissantes, il n'y a pas de hiérarchie sociale, juste la séparation ouvrières-gynes. Toute information utile diffuse rapidement dans la colonie.

Alimentation :
C'est avant tout un généraliste omnivore, prédateur à l'occasion mais qui, comme beaucoup d'envahissantes, fait de l'élevage de pucerons et cochenilles. La présence surchargée de cochenilles et de pucerons sur les plantes à feuilles lisses est un critère de dépistage fiable des espèces envahissantes.

Comme les autres super-envahissantes, leur pouvoir de mobilisation sur toute nouvelle ressource est très grand et très rapide.

Diapause :
Elles n'en connaissent aucune.

Impact :
Habituel des super-envahissantes : Le nettoyage de la biodiversité par le vide sauf pour les espèces qu'elles élèvent ou qu'elles ne peuvent atteindre (faune hypogée, espèces cuirassées et trop petites pour elles), plus les impacts négatifs sur les cultures.

Elles chassent tout excepté les rares espèces plus puissantes et plus agressives (Solenopsis invicta, Monomorium sp.) auxquelles elles peuvent tenir tête un moment, ou bien celles capables de tenir au-delà de leurs limites climatiques (Lasius neglectus). Les autres espèces sont éliminées ou déplacées (poussées "au large").

Comme avec Anoplolepis gracilipes, le nettoyage de la biodiversité par le vide change jusqu'à la structure des forêts par la diminution brutale et durable des essences myrmécochores qu'elles induisent ainsi, mais pas seulement : Elles gènent aussi le travail des pollinisateurs en récupérant le nectar des fleurs avant eux, ou les éliminent directement.
En milieu insulaire les dégâts sont trop souvent consternants : tortues, oiseaux marins, ... (Wetterer, J. K., and B. C. O'Hara. 2002. Ants (Hymenoptera: Formicidae) of the Dry Tortugas, The outermost Florida Keys. Florida Entomologist 85(2):303-307.)

Répartition mondiale détaillée et autres :



(Elle serait confirmée dans les régions parisienne, lyonnaise et bordelaise )

Son explosion mondiale est due à l'homme : Comme pour toutes les envahissantes la dissémination par l'homme est extrêmement facile et pratiquement invisible lorsqu'on n'est pas averti et très attentif.

Les recherches en lutte biologique sont nulles.

La seule méthode connue et employée, est la lutte chimique. Elle se fait soit à base d'IGRs (= inhibiteurs de croisssance : acide borique, méthoprène et pyriproxyfène) et d'insecticides systémiques (= à effet retardé, que les ouvrières apportent aux reines : hydramethylnon (re ! ph34r.gif ) ) voir Résister !

Voir aussi :


Un saut à la galerie de photos AcideFormik : Pheidole megacephala
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mise à jour au 30/06/2008.
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Des remarques ?
Des questions ?


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C'est fou de préserver la biodiversité en étant obligé de balancer des saloperies chimiques dans la nature !
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sipatte
* Saturday 28 June 2008 à 12:45
Message #2


Myrmécomorphe


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Pas de diapause.
Pas de pause dans les pontes non-plus?


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Hydraméthylnon
* Saturday 28 June 2008 à 12:50
Message #3


Major Fatal


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Non, pas de pause, juste un ralentissement saisonnier.


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vito corleone
* Monday 30 June 2008 à 20:19
Message #4


Cocon


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Fiche bien complete comme d'hab thumbsup.gif

Comment utilisent-elles le venin puissant dont tu parles? Car sa cousine P.pallidula n'en possedent pas.

Ce message a été modifié par k2rantitache: Monday 30 June 2008 à 22:17
Raison de la modification: noms des sp en italique
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cékiki
* Monday 30 June 2008 à 23:11
Message #5


Gyne Très Mégère


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Je l'ai rencontrée par deux fois.
- La Réunion. C'est Français... l'importation aisée à son insu ou pas.
- En Sardaigne. Pas loin de la métropole non ?
Pour la Réunion, c'était l'hiver pour eux. Couvain et du monde en surface. Jusqu'au près du littoral. Quand on connaît la puissance des vagues de l'océan Indien, ça donne une idée de leur capacité d'adaptation. Jusqu'en montagne, ce qui correspond au printemps pour nous avec des nuits fraîches, moins de 10°.
Présente dans les maisons, à l'affut de toute source alimentaire.
Polygyne à souhait :



Elle est plus petite que notre Pheidole pallidula.


à droite la Pheidole megacephala de la Réunion. A gauche la Pheidole pallidula métropolitaine

Quand elle va monter, gare .
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Hydraméthylnon
* Tuesday 01 July 2008 à 01:29
Message #6


Major Fatal


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Merci Cekiki, j'ai fait une maj du message #1 pour y ajouter un lien sur tes photos.

Pour le venin, Vito, j'ai testé mais pas regardé exactement. Je me fie à ce qu'on en dit sur le web.

A propos de liens, un de plus qui parle de plusieurs espèces en même temps :
ThinQuest Library.

Je traduis le passage qui concerne celle-ci :

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• Fourmi à Grosse Tête (Pheidole megacephala)

Sans doute le plus envahissant de tous les invertébrés, la Fourmi à Grosse Tête ou encore Fourmi brune des maisons, a terminé son tour du monde. C'est une peste agricole et domestique et ses relations mutualistes avec certains insectes phytophages (bouffeurs de plantes) permet aux populations de cette peste d'augmenter dans des proportions énormes et de détruire massivement les cultures.

La fourmi brune des maisons est considérée comme originaire d'Afrique du Sud mais elle s'est à présent répandue sur toute la terre, dans les régions tropicales et tempérées. Elle préfère les milieux humides et ombragés et les perturbations d'origine humaine ne gênent pas son expansion, la favorisent au contraire. Par conséquent on les trouve dans de nombreux habitats : Zones agricoles, forêts, zones urbanisées, marécages, landes à buissons, franges côtières et plantations, vergers.

Les fourmis à grosse tête ont de petites épines (poils raides) en diverses parties de leur exosquelette qui est lisse et brillant par ailleurs. Leur couleur varie du jaune au brun-rouge et au noir sépia. Elles font 3mm de long en moyenne. La reproduction se fait par l'insémination d'une reine fertile avec un mâle de la colonie qui en meurt ensuite. C'est un évènement dépendant du climat mais qui a lieu tout au long de l'année. Les gynes sont capables de pondre 292 oeufs par mois. Les oeufs arrivent à maturité en plusieurs mois, via larves et pupes, et l'espérance de vie des ouvrières est inversement proportionnelle à la température : A 27°C l'espérance de vie est au moins la moitié de ce qu'elle est quand la temperature ambiante est de 21°C.

Les fourmis des maisons sont généralistes et charognardes, se nourissent d'à peu près tout ce qui leur tombe entre les mains, petits invertébrés, graines et insectes. Elles se montrent agressives contre les fourmis natives. Les hautes concentrations de cette espèce ont conduit à un déclin du nombre de vertébrés, sans doute à cause de la compétition sur les ressources et aussi par prédation directe, en particulier pour les animaux insectivores dont les ressources sont largement réduites par la présence de cette fourmi. En plus de moissonner les graines des plantes natives, ces fourmis sont aussi partiellement responsables de la dispersion des plantes introduites ce qui agrave encore plus la situation de la flore native. Les impacts négatifs sur les habitations humaines incluent leur propension à macher les câbles de téléphone et les fils électriques.

Depuis que les manipulations de terre pour le jardinage ont été identifiées comme facteur de dispersion de cette espèce exotique, les mesures de prévention à appliquer devraient porter une très grande attention à de tels échanges et imposer des mesures de décontamination. La lutte chimique n'est pas - de loin - la panacée pour l'environnement, cf. les nombreux pesticides qui ont été utilisés par le passé, comme par exemple le célèbre DDT et l'heptachlore détruisant aussi la nature autochtone. L'appât de loin le plus efficace s'appelle 'Amdro' ( mrgreen.gif ph34r.gif ), et des travaux sont en cours sur cette base pour trouver de meilleures méthodes d'application.
-----------------
wink.gif


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maequise
* Monday 05 April 2010 à 07:18
Message #7


Oeuf


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Je m'excuse de remonter le sujet, mais j'aimerai qu'on m'éclaire sur quelque petotes choses smile.gif.
Est-ce que ces fourmis sont fermvent amatrice d'élevage de pucerons ?
Aiment-elles se loger près des plantes ?

Voili voila, je pense que si on m'éclair sur ces deux je pourrais être en mesure d'identifier les fourmis qui ressemblent étrangement a cette espèce.


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Je ne suis pas une fille mais un mec, il faut faire attention le pseudo est trompeur!!!
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Citrouille-Man
* Monday 05 April 2010 à 10:17
Message #8


Gyne


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Ces critères ne sont malheureusement pas assez précis pour pouvoir confirmer une identification. Il faut se baser sur des critères morphologiques. Tu peux également essayer de contacter les autres personnes présentes sur ton île qui s'intéressent aux fourmis.
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